Pasar al contenido principal

page search

Community Organizations International Development Research Centre
International Development Research Centre
International Development Research Centre
Acronym
IDRC·CRDI

Location

Canada

About IDRC

A Crown corporation, we support leading thinkers who advance knowledge and solve practical development problems. We provide the resources, advice, and training they need to implement and share their solutions with those who need them most. In short, IDRC increases opportunities—and makes a real difference in people’s lives.

Working with our development partners, we multiply the impact of our investment and bring innovations to more people in more countries around the world. We offer fellowships and awards to nurture a new generation of development leaders.

What we do

IDRC funds research in developing countries to create lasting change on a large scale.

To make knowledge a tool for addressing pressing challenges, we

- provide developing-country researchers financial resources, advice, and training to help them find solutions to local problems.

- encourage knowledge sharing with policymakers, researchers, and communities around the world.

- foster new talent by offering fellowships and awards.

- strive to get new knowledge into the hands of those who can use it.

In doing so, we contribute to Canada’s foreign policy, complementing the work of Global Affairs Canada, and other government departments and agencies.

Members:

Basil Jones

Resources

Displaying 266 - 270 of 324

Systematic Registration of communal and Individually Owned land.Administration Agreement for Uganda's National

General

The objective is to increase security of land rights by consolidating the demarcation and documentation of individually and communally owned customary lands. This would be implemented by inclusion of vulnerable people of both genders. The proposed activities will build on national pilots and initiatives and global and regional best practices. The proposed activities are i) community participation; ii) community awareness; iii) institutional training and strengthening, and iv) monitoring and eva

CARITAS - Protection Humanitaire au Cœur de l’Action (PROHUMA)

General

Premier pays d’Afrique pour l’accueil des réfugiés, l’Ouganda fait face à un sous-financement chronique de l’aide humanitaire dans les settlements de l’Ouest (qui accueillent les réfugiés congolais) et du Nord (réfugiés sud-soudanais). Les principaux problèmes rencontrés en Ouganda pour la prise en charge des réfugiés incluent : La protection de l’enfance : les leçons tirées du travail de Caritas avec les mineurs non-accompagnés dans les camps de réfugiés révèlent qu'il existe de nombreuses lacunes non comblées, notamment l'accès à la justice et le respect des lois internationales de protection à l’enfance. Les systèmes communautaires de protection de l'enfance sont faibles voire inexistants. La violence sexuelle basée sur le genre (VSBG) : les évaluations menées ont révélé des retards dans la notification des cas de VSBG en raison de l'ignorance des mécanismes d'orientation, du manque d'intérêt des parents et de la rigidité culturelle qui mettent en péril la santé et l'avenir des victimes. Le manque de protection par rapport aux cas de viols, de violence domestique, de violence sexuelle et le sexe de survie constituent les risques principaux dans ce secteur. La réintégration socio-économique : les entretiens avec des informateurs clés soulignent la nécessité d'étendre les activités socio-économiques dans les camps. Cependant le HCR a subi une réduction budgétaire de 17% entre 2020 et 2021 et le PAM a été obligé d’appliquer des réductions importantes au cash alimentaire (enveloppe réduite de UGX 31.000 à 19.000). Or les réfugiés dépendent très largement des rations alimentaires ou de leur équivalent en espèces pour survivre. Certains repartent dans leur pays d’origine par manque d’aide humanitaire en Ouganda. Le système judiciaire manque de financement et de ressources ; cela provoque une prestation de services légaux insuffisante et un accès marginal à la justice, en particulier pour les réfugiés. Il y aussi un retard significatif pour traiter les dossiers, notamment les dossiers des réfugiés. Cela décourage les victimes à se confier à la justice. La région de Diffa (Sud-Est) reste extrêmement volatile et fait face à de nombreux déplacements de population. À titre d’exemple, en avril 2021, suite aux attaques répétées à Damassak et à Gaidam (Nord du Nigéria), plus de 9.000 personnes ont trouvé refuge dans les localités de Chétimari et de Gagamari, avec une proportion importante d’enfants non accompagnés ; à Mainé Soroa, on dénombre plus de 6.000 personnes réfugiées ou déplacées. Cette situation influence gravement la protection des personnes (réfugiés, déplacés, retournés et hôtes) et les mécanismes communautaires de protection. Les enfants sont particulièrement vulnérables et subissent de nombreux incidents tels que : séparation familiale, abandon, détresse psychologique, recrutement forcé par des groupes armés, exploitation et maltraitance par les marabouts, travail forcé, mariage précoce et forcé, sexe de survie et exploitation sexuelle. Le manque de documentation juridique et civile et les difficultés pour enregistrer les nouveau-nés posent également problème, notamment pour les déplacés internes. En ce qui concerne les VBG, on relève notamment des cas de violences conjugales, ainsi que des harcèlements sexuels occasionnés le plus souvent au moment de la corvée d’eau et des besoins naturels aux alentours des villages. La cohésion sociale entre les communautés est également fragilisée. Des tensions entre communautés ne sont pas rares (bagarres, invectives, stigmatisations, accusations de toutes sortes, conflits entre agriculteurs et éleveurs). Dans les centres urbains aussi, des tensions entre jeunes de différents quartiers débouchent fréquemment sur des bagarres violentes. Ces jeunes, souvent au chômage et déscolarisés, s’organisent en gangs et s’adonnent à différentes formes de banditisme : drogue, agressions, harcèlements, braquages, viols. A cette situation de crise sécuritaire s’ajoute une précarité économique des communautés suite à la fermeture des frontières avec le Nigeria (limitant les échanges). L’enchainement des déficits céréaliers et fourragers entraine une insécurité alimentaire cyclique et une baisse des revenus liés à la vente des animaux. Dix ans après le début de la crise syrienne, la Jordanie accueille toujours 665.404 réfugiés syriens enregistrés auprès du HCR. La très grande majorité, soit 80.7% de cette population, vit dans des zones urbaines et rurales, hors des camps de réfugiés. Avant même le début de la guerre en Syrie, le pays faisait déjà face à des problèmes de pauvreté extrême. Les femmes et les enfants en particulier sont parmi les plus vulnérables et ne peuvent compter sur un système de sécurité sociale défaillant. Ces groupes sont les premières victimes de la violence, notamment liée au genre, ainsi qu’en témoignent les taux très élevés de criminalité qui auxquels font face ces groupes. Les défis sont nombreux pour prévenir et répondre à cette violence, en ciblant particulièrement les enfants à risque, le travail des enfants et les mariages précoces. À cause de la crise économique régionale, exacerbée par la guerre en Syrie, les réfugiés syriens, tout comme les plus pauvres Jordaniens, ont épuisé leurs mécanismes de survie. Des études récentes montrent que depuis le début de la pandémie Covid-19, la pauvreté a augmenté de 38% au sein de la population jordanienne et de 18% pour les réfugiés syriens. Selon le HCR, plus de 400.000 réfugiés ont fui le pays depuis 2015, la Tanzanie étant leur principal pays d’accueil. Le choc lié à la pandémie de Covid-19 est venu interrompre une reprise économique fragile et a impacté la croissance économique estimée à 0,3 % en 2020 contre 1,8 % en 2019. La population burundaise (y compris les déplacés internes et les personnes qui retournent dans leur région d’origine) souffre de plus en plus des effets de la dégradation de la situation socio-économique. Le niveau d’insécurité alimentaire, presque deux fois plus élevé que la moyenne des pays d’Afrique subsaharienne, est alarmant : environ 2 millions de personnes souffrent d’insécurité alimentaire. Près de la moitié de la population est touchée par la pauvreté multidimensionnelle, ce qui signifie qu’elle n’a pas ou peu accès aux services de base (santé, éducation) et que ses besoins essentiels ne sont pas satisfaits. Les femmes et les enfants sont particulièrement vulnérables aux risques de protection, notamment aux violences basées sur le genre (VBG) et à la traite des personnes. La santé reproductive des femmes et des filles, leur autonomisation et leur participation au marché du travail reste problématique dans l’ensemble du pays. Malgré le rôle essentiel qu’elles jouent pour assurer la sécurité alimentaire et nutritionnelle des ménages, les femmes restent confrontées à un accès inéquitable aux facteurs de production, dont l'accès à la propriété foncière. Cette précarité structurelle est renforcée dans les situations de déplacement, notamment du fait de la diminution des moyens de subsistance et de l’accès aux services de base pouvant entrainer des stratégies risquées de survie et augmenter le risque de VBG et de traite des personnes.

Objectives

Prévention et réduction des vulnérabilités des groupes les plus exposés aux violences lors de crises humanitaires à travers le renforcement d‘un environnement de protection accessible et digne. Prévention et réduction des vulnérabilités des groupes les plus exposés aux violences lors de crises humanitaires à travers le renforcement d‘un environnement de protection accessible et digne. Prévention et réduction des vulnérabilités des groupes les plus exposés aux violences lors de crises humanitaires à travers le renforcement d‘un environnement de protection accessible et digne. Prévention et réduction des vulnérabilités des groupes les plus exposés aux violences lors de crises humanitaires à travers le renforcement d‘un environnement de protection accessible et digne. Renforcement de la protection humanitaire des réfugiés, des ménages déplacés internes, des ménages retournés et des communautés hôtes, et soutien à la cohésion sociale et la coexistence pacifique entre les différents groupes communautaires au Burundi, Niger, Jordanie et Ouganda Renforcement de la protection humanitaire des réfugiés, des ménages déplacés internes, des ménages retournés et des communautés hôtes, et soutien à la cohésion sociale et la coexistence pacifique entre les différents groupes communautaires au Burundi, Niger, Jordanie et Ouganda Renforcement de la protection humanitaire des réfugiés, des ménages déplacés internes, des ménages retournés et des communautés hôtes, et soutien à la cohésion sociale et la coexistence pacifique entre les différents groupes communautaires au Burundi, Niger, Jordanie et Ouganda Renforcement de la protection humanitaire des réfugiés, des ménages déplacés internes, des ménages retournés et des communautés hôtes, et soutien à la cohésion sociale et la coexistence pacifique entre les différents groupes communautaires au Burundi, Niger, Jordanie et Ouganda Résultat 1 : La protection des groupes les plus vulnérables est renforcée à travers la protection de l’enfance, la réduction de la violence basée sur le genre et le renforcement de la cohésion sociale et pacifique Résultat 2 : Réinsertion socio-économique des victimes (IDPs, retournés, refugiés en privilégiant les groupes les plus vulnérables (femmes cheffes de ménage, enfants chefs de ménage, familles avec des personnes moins valides. Résultat 3 : L’accompagnement légal et juridique pour personnes déplacées internes, refugiées et retournées est assuré Résultat 1 : La protection des groupes les plus vulnérables est renforcée à travers la protection de l’enfance, la réduction de la violence basée sur le genre et le renforcement de la cohésion sociale et pacifique Résultat 2 : Réinsertion socio-économique des victimes (IDPs, retournés, refugiés en privilégiant les groupes les plus vulnérables (femmes cheffes de ménage, enfants chefs de ménage, familles avec des personnes moins valides. Résultat 3 : L’accompagnement légal et juridique pour personnes déplacées internes, refugiées et retournées est assuré Résultat 1 : La protection des groupes les plus vulnérables est renforcée à travers la protection de l’enfance, la réduction de la violence basée sur le genre et le renforcement de la cohésion sociale et pacifique Résultat 2 : Réinsertion socio-économique des victimes (IDPs, retournés, refugiés en privilégiant les groupes les plus vulnérables (femmes cheffes de ménage, enfants chefs de ménage, familles avec des personnes moins valides. Résultat 3 : L’accompagnement légal et juridique pour personnes déplacées internes, refugiées et retournées est assuré Résultat 1 : La protection des groupes les plus vulnérables est renforcée à travers la protection de l’enfance, la réduction de la violence basée sur le genre et le renforcement de la cohésion sociale et pacifique Résultat 2 : Réinsertion socio-économique des victimes (IDPs, retournés, refugiés en privilégiant les groupes les plus vulnérables (femmes cheffes de ménage, enfants chefs de ménage, familles avec des personnes moins valides. Résultat 3 : L’accompagnement légal et juridique pour personnes déplacées internes, refugiées et retournées est assuré

Target Groups

Le programme assistera un total de 139.200 personnes qui se répartissent comme suit entre les quatre pays :  Burundi : 40.500 personnes  Jordanie : 11.000 personnes  Niger : 63.700 personnes  Ouganda : 24.000 personnes Le programme assistera un total de 139.200 personnes qui se répartissent comme suit entre les quatre pays :  Burundi : 40.500 personnes  Jordanie : 11.000 personnes  Niger : 63.700 personnes  Ouganda : 24.000 personnes Le programme assistera un total de 139.200 personnes qui se répartissent comme suit entre les quatre pays :  Burundi : 40.500 personnes  Jordanie : 11.000 personnes  Niger : 63.700 personnes  Ouganda : 24.000 personnes Le programme assistera un total de 139.200 personnes qui se répartissent comme suit entre les quatre pays :  Burundi : 40.500 personnes  Jordanie : 11.000 personnes  Niger : 63.700 personnes  Ouganda : 24.000 personnes

Civil Society actors capacitate the marginalised urban poor towards inclusive, participatory, and sustainable

General

The overall objective is to secure the sustainable participation of urban poor in Namibia to become recognized actors in promotion of the access to security of land tenure, water and sanitation

The specific objectives are: Improved capacity of marginalised informal settlement communities to engage in policy and strategic dialogue towards access to land tenure and basic services (water and sanitation); Local communities enabled to hold the government accountable to secure efficient service delivery and improved transparency; and Policies implemented at local and national levels are aligned or consistent with the priorities of the National Alliance of Informal Settlement Upgrading (NAISU) and other relevant stakeholders.

Strengthening Nature-based Agriculture in Vanuatu

General

Strengthening Nature-based Agriculture in Vanuatu is a targeted, 30-months development action that aims to enhance food security and improve productive land management. It will deliver benefits to 25,000 people by diversifying and expanding agricultural economies and niche-product value chain development, including the potential for Payment for Ecosystem Services (PES). The action will embed women in the local economy.

The logic behind this intervention is that the empowerment of women in farmer groups focused on agroforestry value chains can help to increase agriculture productivity and diversification, improve dietary diversification and food security and provide an inclusive response to resilience building.

 

The overall objective of this action is to increase socioeconomic resilience in Shefa and Torba Provinces of Vanuatu. The action will embed women in the local economy. The proposed action has the following expected outcomes:

· Outcome 1. Women in targeted Civil Society Organisations (CSOs) and farmer groups are empowered and the operational capacity of farmer groups is enhanced

Farmer groups are an important mechanism for scaling nature-based agriculture and empowering women. Activities implemented under this outcome will provide a mechanism to increase knowledge and skills of both men and women so they can scale up activities, and will improve women¿s role in farmer organisations, ensuring that their needs and interests are adequately addressed.

· Outcome 2.Agroforestry is boosted in targeted area

Agroforestry provides an environmentally sustainable approach to farming that supports climate resilience (e.g., higher carbon storage, shade for crops) while also supporting nutritional diversification for household consumption, and the integration of species for value chains and niche markets (e.g., Canarium nut, peanut, vanilla). Proposed activities entail support to new plot establishment and the acquisition and application of skills in agroforestry and nature-based agriculture. A Payment for Ecosystem Services study will enable the identification of an alternative income stream as part of agricultural income diversification

· Outcome 3. Sharing best practices in agricultural nature-based economies for integration into government, and development partner operations.

Environmentally sustainable agricultural practices that are climate resilient are critical to dietary diversity, food security and agriculture development in Vanuatu will be documented.